Comment peut-on écrire que la gratuité de l'examen est une excellente nouvelle, qu' elle sera vecteur de vocations, mais surtout qu'il était temps que quelque chose se passe.
Si nous n'étions pas en octobre, j'aurais pu penser un instant qu'il s'agissait du 1 er avril. Figurez-vous que non, un sentiment de colère m'a alors envahi, plombant par la même occasion une journée qui avait bien commencé. Décidément que ce soit en ouvrant la télévision ou en surfant sur le web, les surprises se succèdent à un rythme incroyable.
Alors nous y sommes, le grand remplacement s'infiltre aux portes de notre hobby, avec comme objectif d'augmenter la population radioamateur coûte que coûte. Les conséquences quant à elles sont complétement occultées, comme si en finalité ce paramètre n'existait pas. Autant dire que si on n'y prend pas garde, la quantité risque de conduire à un loisir de masse avec toutes les conséquences et dérives que nous pouvons aisément deviner. Je n'y suis pas favorable que les choses soient claires !!!
Pourquoi ne pas passer à l'étape consistant à ne plus avoir d'examen pour obtenir la licence, je vous laisse également deviner le résultat. Certains me trouveront vraisemblablement excessif dans mes propos, mais je suis en droit de me demander l'intérêt d'une telle opération. D'ailleurs j'ouvre le débat, une mobilisation me semblant nécessaire, non pas pour que cette décision soit annulée, mais surtout pour trouver une alternative visant à conserver l'instruction individuelle, la déontologie qui fait le charme de cette activité.
Nos prédécesseurs, notre histoire, nos contributions techniques méritent que l'on s'attarde sur ces sujets.
A bientôt pour de nouvelles aventures ...
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